mercredi 29 avril 2009

L'évènement américain que nos médias français prennent soin de taire...

Alors que nos Bobomédias nous bassinent avec les 100 jours d'Obama et son "incroyable" popularité, le buzz américain n'a d'yeux et d'oreilles que pour... Carrie Prejean!

Quoi, vous ne connaissez pas Carrie Prejean? La voici:



Eh oui, Carrie Prejean est Miss Californie. Et savez vous ce qui lui est arrivé? Elle a tout simplement perdu la couronne de Miss USA pour avoir répondu à un jury qui lui demandait ce qu’elle pensait du mariage homosexuel : «Je pense que le mariage, c’est l’union d’un homme et d’une femme.» Dans le «Daily News», Carrie Prejean révèle qu’elle savait pertinemment qu’en faisant cette réponse, elle perdait toute chance de conquérir un titre de Miss USA, mais ajoute : «Si c’était à refaire, je le referais.» Quel courage! Voilà une Miss dont les beaux esprits ne pourront pas dire qu'elle se sera "couchée" pour gagner, au moins...

En plus, elle l'a fait avec grâce et tact, visionnez la video... (Video)
(Wouf, regardez le présentateur, à la fin, il a pris un "coup de chaud"!!)

vendredi 17 avril 2009

Ce n'est qu'un début, poursuivez le com....

Les contribuables recevront cette année un seul exemplaire papier (au lieu de deux) de leur déclaration pré-remplie, selon un article relayé dans La Tribune d'aujourd'hui. En contrepartie, la notice explicative accompagnant le formulaire de déclaration intègrera un tableau vierge destiné à reporter les données chiffrées du contribuable. Pour la Direction générale des finances publiques, cette mesure "vise à limiter la production et la consommation de papier dans le contexte de sensibilisation à la protection de l'environnement". Les contribuables qui font leur déclaration en ligne pourront également choisir de ne plus recevoir d'exemplaire papier à compter de 2010.

Pour notre part, nous aurions bien quelques autres suggestions à leur soumettre, pour faire des économies, à commencer par diminuer la masse salariale des fonctionnaires de Bercy, par réduire les revenus inconsidérés d'un certain nombre de "fonctionnaires" dont l'utilité reste à prouver et qui perçoivent des sommes astronomiques calculées selon une règle établie à l'époque de la Monarchie, ou de l'Empire...
Nous pourrions aisément imaginer aussi de supprimer des taxes et impôts dont le recouvrement coûte entre 90 et 110% des sommes collectées...
Et si l'Etat refusait de verser aux fonctionnaires grévistes de Guadeloupe leurs salaires correspondant aux périodes de pagaille? Remarquez que je n'ose même pas imaginer un recours en justice à leur encontre pour atteinte à la liberté du travail, dégradation de biens publics et privés, séquestration, extorsion de fonds par la menace, racisme, coups et blessures à l'encontre d'agents des forces de l'ordre dans l'exercice de leurs fonctions... etc ...etc...

mercredi 15 avril 2009

Quand l'idéologie se heurte à monde réel....

Une info qui a passé complètement inaperçue....

A un mois et demi de l'entrée en vigueur du RSA, les premières évaluations du nouveau minimum social laissent relativement dubitatif. Une étude de la DREES montre que le revenu de solidarité active, qui se substituera au RMI le 1er juin prochain, n'a qu'un « impact limité en termes d'accès ou de maintien en emploi ». L'enquête porte sur les expérimentations du RSA qui ont été conduites depuis 2007 dans 34 départements volontaires. La DREES a comparé les zones où le nouveau dispositif a été testé (« zones tests ») avec des « zones témoins », situées dans les mêmes départements, où le RMI restait en vigueur. Les premiers résultats concernent 2.900 personnes.
Le nouveau dispositif n'a pas permis aux bénéficiaires de retrouver un emploi ou de conserver leur poste, en tout cas pas plus que ce que permettent déjà les dispositifs d'accompagnement du RMI. « Les taux d'emploi sont légèrement plus élevés en zones tests qu'en zones témoins, mais les différences ne sont pas significatives », note la DREES.
Les écarts « significatifs » n'apparaissent que pour certaines catégories de bénéficiaires.
Dans le rapport intermédiaire, publié en septembre, le taux de retour à l'emploi des allocataires du RMI était de 2,92 % en cumul sur cinq mois dans la zone expérimentale et de 2,25 % sur la zone témoin.

Quand les Bobos idéologues se mettent en tête de faire du social, ça coute toujours cher et ça ne fonctionne pas.
30 ans de système éducatif abêtissant ont donné une masse d'adultes totalement inadaptés au monde dans lequel ils vivent. Ils ne maîtrisent pas la langue (l'enseignement du français a été abandonné), pas les codes (ce n'est pas à l'école de la république d'enseigner les "référants" de la société bourgeoise), pas les usages (l'employeur est un "patron", un "exploiteur" qui ne voit dans le candidat qu'un "potentiel de plus value". Rien ne lui est du, c'est lui qui a des devoirs envers vous), n'ont pas appris de métier (l'apprentissage en entreprise s'apparente à de l'esclavage), n'ont aucun sens de la compétition (il n'y a plus aucune note dans les écoles, aucun classement, car "l'enfant doit s'évaluer par rapport à lui-même, pas par rapport aux autres...). Que ce soit avec RMI, RSA ou "R-rien du tout", ces pauvres gens ne sont pas dans le "tempo" de la société, dans le rythme de la vie réelle. Ils ont été abrutis par des idéologues qui aujourd'hui, au lieu de se reprendre, s'enferment dans leurs certitudes et les condamnent.
L'idéologie dominante condamne ceux qui réussissent. Elle va même plus loin, puisqu'elle met quotidiennement au pilori ceux qui réussissent et ne cesse de répéter que la société doit tout (logement gratuit, nourriture gratuite, éducation gratuite, soins gratuits, transports gratuits, vêtements gratuits, meubles et électroménager gratuits et prestations sociales assurant une "vie décente") à ceux qui ne réussissent pas. C'est condamner le système. C'est oublier que la société ne peut éventuellement répartir que ce que les individus les plus productifs peuvent lui donner. Mener une politique qui réduit les productifs s'apparente à tuer la poule aux oeufs d'or. Un jour, on tue la poule pour donner à manger aux "gentils pauvres" et après.... tout le monde crève.
Le système étatique d'aide systématique, outre qu'il coûte horriblement cher car il nourrit une armée de fonctionnaires sociaux dont l'intérêt devient, paradoxalement, inverse à leur fonction (il leur faut bien justifier de leur existence), génère un comportement parasite. En effet, l'aide n'est plus un soutien temporaire permettant à tel ou tel de passer une sale période et de rebondir, mais un "droit acquit", attribué de manière indistincte, dès lors que certains critères établis sont réunis. Pourquoi ne pas en profiter, puisqu'on y a droit? Pourquoi ne pas chercher à se mettre en conformité avec les critères, puisque sinon, on a droit à rien? Et voilà comment, au lieu de faire fonctionner son esprit dans un sens positif et constructif, ce système pervers incite à le faire fonctionner dans l'unique but de faire perdurer une situation. ce s'rait top con de pas en profiter, non?

Comment sortir de cette situation?

Il n'y a malheureusement pas trente six solutions.

1) Donner plus de moyens aux associations
2) Désengager l'Etat de l'aide sociale
3) Supprimer les charges sociales pour relancer l'emploi et détruire l'économie sous terraine
4) Responsabiliser en liant chaque droit à un devoir
5) Rétablir une hiérarchie des revenus conforme au risque pris
6) Rétablir l'esprit de compétition à tous les niveaux
7) Rétablir un authentique enseignement public