Le Figaro de ce matin se fait l'écho d'un livre qui vient de sortir aux USA sur Ingrid Betancourt et son comportement durant sa très longue captivité dans la jungle colombienne. Dans «Out of captivity», trois anciens otages américains des Farc décrivent la Franco-Colombienne comme une codétenue «égoïste, hautaine», et manipulatrice…
Il est clair que dans des situations extrêmes comme celles vécues par les otages des FARC, certains traits de caractère s'exacerbent. Les livres écrits, en particulier par des internés du goulag ou des camps nazis sont édifiants sur la manière dont certains peuvent devenir des bourreaux pires que les gardiens ou d'autres, se dévouer au péril de leur vie. Je remarque simplement qu'il n'est pas question de cela ici, que les critiques sont assez banales et qu'elles se concentrent (est-ce le fait du hasard? :-)) sur la catho de service qui, peut être est ce là son pire crime, ose s'affirmer comme telle. Des travers et des pétages de plombs de ses co-détenus (au demeurant "Marines" c'est à dire entraînés aux situations extrêmes) pas un mot...
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